À propos
L'ÉDITO DU DIRECTEUR
ACCOMPAGNER CHAQUE ÉLÈVE VERS SA RÉUSSITE
« La Châtaigneraie : Un avenir qui se construit aujourd’hui »
Chers élèves, apprentis, parents, enseignants, et entreprises,
Nous vous invitons à découvrir notre campus, riche de son histoire et de ses valeurs depuis plus de 60 ans. Nous accueillons chaque jeune désireux de s’épanouir, grandir et apprendre. L’accompagnement personnalisé de chaque apprenant est au cœur de nos priorités, afin que chacun trouve sa place et développe pleinement ses talents.
Les projets pédagogiques que nous mettons en place favorisent l’esprit d’équipe, la créativité et la solidarité au sein de notre communauté. Ils permettent à nos jeunes de prendre conscience de leur rôle actif dans la société et, plus spécifiquement, au sein des entreprises de demain, tout en cultivant les valeurs de respect, de responsabilité et d’ouverture d’esprit.
L’ensemble des équipes éducatives et administratives est pleinement engagé pour faire de La Châtaigneraie un lieu d’excellence et de bien-être pour tous.
Xavier BLONDEL – Directeur de Campus






L'historique de " la Châtaigneraie "
La fermeture des sections industrielles
En 1962, le directeur de l’institution Saint-Joseph de Mesnières-en-Bray décide de fermer les sections techniques industrielles. Cette décision menace la continuité de la formation des élèves dans ces domaines.
L’initiative de l’abbé Hellot
Face à cette situation, l’abbé Hellot, alors économe de l’établissement, réagit rapidement. Conscient des besoins en main-d’œuvre qualifiée dans la région rouennaise, il entreprend de trouver un nouveau lieu d’accueil pour ces sections techniques.
La découverte de La Châtaigneraie
Le 15 juin 1963, ses recherches le conduisent au Mesnil-Esnard, où il découvre une propriété nommée La Châtaigneraie. Ce domaine appartient à Madame Lowenstein, veuve d’un notable rouennais mort en déportation. Le château, divisé en appartements, est alors entouré de taillis et de bois, et le site est en partie laissé à l’abandon.
La création d’un nouveau projet
Madame Lowenstein accepte de vendre sa propriété. Pour concrétiser le projet, l’abbé Hellot fonde, avec l’aide de quelques industriels, une société civile immobilière (SCI) qui deviendra plus tard une association loi 1901. Grâce à la caution de ces partenaires, il obtient des crédits bancaires permettant de lancer l’opération.
Les premiers aménagements
Les premiers travaux débutent rapidement. Deux salles de classe et un atelier sont construits, posant les bases de ce qui deviendra un nouvel établissement d’enseignement technique : La Châtaigneraie
Un établissement catholique en devenir
À partir du 15 septembre 1963, La Châtaigneraie devient officiellement un établissement scolaire membre de l’enseignement catholique. L’école accueille alors 93 élèves, répartis dans deux formations : un CAP industriel et un CAP de dessinateur.
Des débuts modestes
Les moyens matériels sont limités. Les repas du midi, préparés par Normandie Repas, sont livrés sur place, réchauffés dans le bâtiment où se trouve aujourd’hui l’accueil, puis servis dans une salle à manger improvisée dans les locaux actuels de la direction.
Des élèves venus de toute la région
Une grande partie des élèves provient de la région de Mesnières. Faute d’internat sur le site, ils sont logés provisoirement à Rouen, route de Neufchâtel, au Petit Séminaire. Cet hébergement temporaire permet d’assurer la scolarité des jeunes en attendant la construction d’un internat sur place.
L’élan de la croissance
À la rentrée 1964, les premiers agrandissements voient le jour : la surface de l’atelier est doublée et deux classes supplémentaires sont construites. L’année suivante, l’abbé Hellot recrute un directeur, Dominique Blot, qui perçoit immédiatement le potentiel de l’établissement et s’attache à le développer.
Une gestion encore fragile
L’abbé Hellot se retire de la direction, tout en restant administrateur des associations de gestion et actif dans le démarchage des entreprises pour obtenir la taxe d’apprentissage, essentielle à la survie financière du jeune établissement.
À cette époque, aucun contrat avec l’État n’existe encore : il faut cinq années d’existence pour y prétendre. Malgré ces difficultés, l’école continue à progresser.
L’ouverture de nouvelles formations
En 1966, après trois années d’activité, les besoins d’extension se font sentir : internat, laboratoires et classes doivent être agrandis. C’est également l’année de l’ouverture du baccalauréat de technicien en construction mécanique, marquant une étape importante dans la diversification des formations.
Une expansion continue
À la rentrée 1967, l’établissement est prêt à accueillir 225 élèves, dans des bâtiments dont la superficie passe de 23 m² à 51 m². Le rythme de développement s’accélère : un chantier est lancé tous les deux ans, et un BEP Mécanique est ouvert pour répondre à la demande croissante.
Un établissement en pleine maturité
En 1970, l’établissement atteint 360 élèves. Un atelier de 800 m² est alors construit pour les mécaniciens et électromécaniciens, permettant de libérer entièrement le grand bâtiment pour les salles de classe.
La même année, une salle polyvalente de 200 m², aménagée en amphithéâtre, voit le jour. Elle est destinée au cinéma, au théâtre et aux activités culturelles, affirmant ainsi la vocation éducative complète de La Châtaigneraie.
Une
croissance spectaculaire
En 1971, La Châtaigneraie compte près de 500 élèves. Huit ans auparavant, ils n’étaient que 93. Cette progression rapide témoigne du succès de l’établissement, mais elle entraîne également de nombreuses difficultés d’infrastructure qu’il faut sans cesse adapter.
Une nouvelle loi, de nouvelles ambitions
La même année, la loi d’orientation sur l’enseignement technologique marque un tournant décisif. Elle instaure l’apprentissage et affirme le droit à la formation continue pour tous.
Sous l’impulsion de
ces réformes, La Châtaigneraie élargit sa mission : elle ne se limite plus à la formation initiale, mais s’ouvre à la formation professionnelle continue et aux travaux industriels en lien direct avec les entreprises locales.
Un acteur régional de la formation
En partenariat avec le Centre de formation professionnelle de la Chambre de commerce et d’industrie de Rouen (CEPPIC), l’établissement devient, en l’espace de quatre ans, l’un des principaux pôles de formation continue des adultes dans le domaine technologique de la région rouennaise. Cette évolution conforte le rôle de La Châtaigneraie comme acteur majeur de la formation technique et professionnelle.
L’ouverture aux sections tertiaires
Toujours en 1971, l’établissement diversifie
son offre en créant des sections tertiaires — dites commerciales à l’époque — avec l’ouverture d’un CAP comptable et d’un BEP
comptable-mécanographe. Ces nouvelles filières, mixtes, attirent un public varié.
Des locaux provisoires pour de nouvelles sections
Faute d’espace, ces classes s’installent provisoirement à l’école Notre-Dame, en haut de la côte de Bonsecours. Les filles y sont hébergées, tandis que les garçons regagnent La Châtaigneraie chaque soir. Cette organisation temporaire ne dure qu’un an.
Comme le rappelle Christian Roussel, alors directeur adjoint :
« Ce fut pour moi une année extraordinaire. »
L’année suivante, les sections tertiaires réintègrent définitivement La Châtaigneraie, bouclant ainsi une nouvelle étape dans l’histoire de l’établissement.
De nouveaux bâtiments pour un établissement en plein essor
En 1974, les constructions se poursuivent avec l’édification d’un atelier et de six nouvelles classes situées derrière le bâtiment principal. Cette extension marque une étape importante dans la croissance de l’établissement.
Deux ans plus tard, en 1976, ces nouveaux locaux accueilleront le Centre de formation des apprentis (CFA) Automobile, renforçant encore la place de La Châtaigneraie dans le domaine des métiers techniques.
Une croissance continue des effectifs
À la rentrée 1975, La Châtaigneraie compte 810 élèves, dont 139 jeunes filles. L’effectif se répartit entre 219 pensionnaires, 389 demi-pensionnaires et 202 externes. Ces chiffres témoignent de l’attrait croissant de l’établissement et de la diversité de son public.
L’essor des formations industrielles
Cette période voit également la création d’une section de chaudronnerie “Fer”. Un vaste marché s’ouvre alors pour la formation de soudeurs habilités, capables d’intervenir sur des chantiers sensibles tels que les navires méthaniers ou les centrales nucléaires. Les cabines de soudure sont équipées selon les normes les plus exigeantes de l’époque. La formation démarre rapidement, mais la procédure d’homologation reste longue et rigoureuse, soulignant la volonté de l’établissement de garantir un haut niveau de qualification.
Monique Manchon, une figure emblématique de La Châtaigneraie
Le début des années 1970 marque aussi l’arrivée d’une personnalité marquante : Monique Manchon, responsable du service restauration.
Christian Roussel, alors directeur, se souvient :
« Le début des années 1970 vit l’arrivée, au service restauration, de Monique Manchon. Tous les élèves, demi-pensionnaires ou internes, se souviendront longtemps de Madame Manchon, la “Mamie” de tout le monde. Avec une douce autorité, elle savait calmer les excités et faire fonctionner sans à-coups la grosse machine qu’était la chaîne du self. »
Toujours disponible, “Mamie Manchon” offrait un sandwich à ceux qui avaient manqué le repas, réparait en un instant une tache sur une cravate ou un accroc de chemise, et faisait régner une ambiance bienveillante et ordonnée.
Une restauration soignée et conviviale
La cuisine était confiée à Claude Callais et à son équipe, traiteurs rouennais réputés. Leur savoir-faire apportait une touche de gastronomie à la vie quotidienne de l’établissement.
« Il n’avait pas son pareil pour réaliser des entrées chaudes en pâte feuilletée, qui faisaient le régal de tous, à défaut d’être un modèle de diététique ! Mais l’époque n’était pas encore au bio allégé ! »
Cette période incarne l’esprit de La Châtaigneraie : rigueur, convivialité et humanité, dans un contexte d’expansion continue.
Une nouvelle loi, une opportunité à saisir
En 1976, la publication au Journal officiel de la première loi de rénovation de l’apprentissage marque un tournant majeur. Cette réforme crée officiellement les Centres de Formation d’Apprentis (CFA).
Dominique Blot, directeur de La Châtaigneraie, perçoit immédiatement l’intérêt de cette évolution pour l’établissement. Le 27 septembre 1976, il ouvre la section d’apprentissage automobile, qui accueille dès la première année environ 200 apprentis.
La genèse du CFA Automobile
Christian Roussel, témoin direct de cette période, raconte :
« Dans ses activités d’officier de réserve, Monsieur Blot fréquentait régulièrement un autre officier, Philippe Jean, qui avait acquis quelques compétences mécaniques à l’armée et était devenu professeur au centre de formation d’apprentis du bâtiment. Un beau jour, Monsieur Blot nous annonça que nous allions ouvrir un centre de formation d’apprentis pour la mécanique auto, qui serait animé par Philippe Jean. »
Sous l’impulsion de cette idée audacieuse, une partie de l’internat est transformée en salles de classe, un terrain est acquis pour un futur complexe sportif, et le gymnase devient un atelier.
Le syndicat professionnel des métiers de l’automobile apporte son soutien au projet, tandis que l’équipe de direction s’attelle au recrutement des enseignants et à l’aménagement des infrastructures.
Des débuts ingénieux et artisanaux
À ses débuts, le CFA automobile ne dispose pas de véhicules complets. Les enseignants imaginent alors un système ingénieux :
« Les professeurs avaient mis au point un support regroupant une batterie, un petit réservoir de deux litres d’essence, le moteur et ses accessoires électriques, un silencieux d’échappement et un mini tableau de bord. »
Grâce à la solidarité et au réseau de l’établissement, une vingtaine de “bancs moteurs” sont ainsi fabriqués à partir de pièces récupérées. Ces équipements permettent aux apprentis de s’exercer concrètement à la mécanique.
Ce système, simple mais efficace, fonctionnera jusqu’à la fin des années 1980, avant d’être remplacé dans les années 1990 pour s’adapter à l’évolution rapide de la technologie automobile.
L’émergence de “Télé Châtaigneraie”
L’année 1976 est également marquée par une autre innovation audacieuse : la création de « Télé Châtaigneraie », un projet pionnier pour son époque.
Véritable outil de communication interne et de valorisation des activités pédagogiques, cette initiative témoigne de l’esprit d’innovation de l’établissement.
Bien qu’elle n’existe plus aujourd’hui, “Télé Châtaigneraie” reste un symbole fort de la créativité et de la modernité qui animaient déjà l’école dans les années 1970.
Une décennie de mutations technologiques
En 1981, les sections du baccalauréat technique se multiplient à La Châtaigneraie. Entre 1975 et 1985, l’établissement accompagne une période de profonds bouleversements technologiques dans l’industrie.
Les enseignants doivent être formés, les équipements modernisés, les méthodes pédagogiques réorganisées. C’est une ère d’adaptation et d’innovation permanente.
L’ouverture du premier BTS
L’année 1984 marque une nouvelle étape avec la création du premier BTS au sein de La Châtaigneraie. Cette même année, Dominique Blot quitte la direction de l’établissement. Il laisse la place à Christian Roussel, qui déclare :
« Mon premier souci fut de poursuivre le travail commencé. »
Sous sa direction, l’établissement poursuit sa modernisation et s’adapte aux nouvelles orientations de l’Éducation nationale, qui encourage la fermeture progressive des CAP au profit des BEP.
Des travaux d’envergure et une direction stable
Les travaux continuent : en 1985, le bâtiment du CFA est surélevé pour répondre à la croissance des effectifs.
En 1988, Philippe Fougeray, enseignant au CFA depuis plus de douze ans, devient directeur. Il restera à la tête de l’établissement plus de vingt-cinq ans. Sous sa direction, les formations et les effectifs se développent considérablement, avec une attention constante portée à l’évolution des technologies et des métiers.
En 1989, il supervise la construction d’un atelier de mécanique automobile, symbole d’un enseignement toujours plus ancré dans les réalités industrielles.
La reconnaissance de l’excellence
À la fin des années 1980, la réputation de La Châtaigneraie dépasse les frontières régionales.
Lors d’une émission diffusée sur FR3, Maxence Hernu, délégué académique aux enseignements technologiques, présente l’établissement comme :
« Le prototype de l’établissement scolaire du XXIᵉ siècle. »
Cette reconnaissance souligne la capacité de La Châtaigneraie à anticiper les évolutions éducatives et techniques.
Les années 1990 : vers de nouveaux partenariats
Les années 1990 s’ouvrent sur une nouvelle phase d’expansion. En 1991, le CFA automobile s’agrandit avec un atelier supplémentaire, tandis qu’en 1994, l’atelier de mécanique existant est étendu.
Cette décennie est marquée par un rapprochement stratégique avec la Chambre syndicale de la métallurgie, qui conduit à la création du CFAI (Centre de Formation des Apprentis de l’Industrie). Le bâtiment du CFAI est inauguré en 1998, scellant une collaboration durable entre l’enseignement catholique et le monde industriel.
Une nouvelle direction et de grands chantiers (2004–2006)
En 2004, Christian Roussel quitte la direction de l’établissement.
Bruno Aubriet lui succède et prend en charge les grands travaux restés en suspens, notamment la rénovation des classes et, en 2006, la reconstruction de l’atelier de mécanique automobile, dernier vestige de l’établissement d’origine.
De nouvelles formations apparaissent, dont le BTS Fluide Froid, qui vient compléter la filière du froid.
L’ère des réformes et des nouveaux diplômes (2009–2012)
Les années 2000 sont marquées par de profondes transformations pédagogiques.
- En 2009, le baccalauréat professionnel est désormais préparé en trois ans.
- En 2010, M. Aubriet quitte La Châtaigneraie pour le sud de la France et laisse la direction à Yves Maby, alors directeur adjoint.
- En 2011 et 2012, deux nouvelles filières voient le jour : le bac STI2D (Sciences et Technologies de l’Industrie et du Développement Durable) et le bac STMG (Sciences et Technologies du Management et de la Gestion).
- Plus tard, le BTS GPME (Gestion des Petites et Moyennes Entreprises) vient enrichir l’offre de formation.
Un vaste programme de modernisation (2012–2018)
En 2012, à la demande du conseil d’administration, Bruno Aubriet revient à la tête de La Châtaigneraie. Il engage un programme ambitieux de rénovation :
- 2014 : réfection complète du gymnase,
- 2015 : installation d’un city-stade dans le parc, renouant avec l’esprit d’origine du lieu,
- 2017 : création d’une salle de musculation,
- 2018 : rénovation intégrale de la cafétéria et du self, désormais modernes, lumineux et conviviaux.
Cette même année, le bâtiment de la métallerie est rénové, agrandi et baptisé “EIFFEL”, marquant une nouvelle étape dans le développement du campus.
Un campus modernisé et tourné vers l’avenir (2019–aujourd’hui)
En 2019, M. Aubriet quitte définitivement ses fonctions. Pascal Vallet devient le nouveau directeur.
Dès son arrivée, il lance la rénovation complète de l’amphithéâtre (2020), équipé des dernières technologies et d’une acoustique remarquable.
C’est la troisième rénovation du lieu : les sièges, rouges à l’origine puis orange, retrouvent leur couleur initiale en clin d’œil au passé.
Lors de l’inauguration, Pascal Vallet présente le nouveau logo du campus, symbole d’un établissement moderne et ouvert.
Le châtaignier stylisé représente les trois pôles de formation :
- le lycée (technologique et professionnel),
- le CFA (Centre de Formation d’Apprentis),
- le CFC (Centre de Formation Continue).
Le feuillage tricolore évoque la Seine-Maritime, ancrage historique du campus. Le grand C qui englobe l’ensemble symbolise la communauté éducative et l’ouverture sur le monde professionnel.
La mention « Tech et Pro School » exprime la vocation du campus : offrir un large panel de formations techniques et professionnelles adaptées aux évolutions du monde industriel.
Innovation et partenariats
La Châtaigneraie poursuit sa modernisation.
Une salle dédiée à la réalité virtuelle voit le jour, issue d’un projet des élèves de BAC PRO Systèmes Numériques.
Le campus renforce également ses partenariats : il acquiert et rénove un bâtiment voisin pour accueillir le pôle de formation de l’Union des Industries et Métiers de la Métallurgie (UIMM) Rouen-Dieppe), consolidant ainsi sa place au cœur de la formation technique régionale.
Un hommage à l’abbé Hellot
Le 16 novembre 2022, un nouvel internat est inauguré.Il porte naturellement le nom de Jean Hellot, en hommage au fondateur visionnaire de l’établissement.
Une construction écoresponsable
Conçu dans un souci de préservation de l’environnement, le projet remplace les arbres abattus par six châtaigniers et un olivier, symbole de paix et de renouveau. Des panneaux solaires et récupérateurs d’eau de pluie ont été installés pour un usage durable.
Un lieu de vie chaleureux et fonctionnel
L’internat offre 133 lits répartis dans des chambres modernes de trois lits, chacune équipée d’un bureau individuel et d’une salle de bain.
Une grande salle commune permet aux élèves de se détendre, avec canapés, jeux et espace audiovisuel.
Un lieu pensé pour le bien-être
Lors de l’inauguration, Laurent de Beaucoudrey, directeur diocésain, déclarait :
« Lorsqu’on accueille un jeune, on l’accueille avec toute sa vie. Il lui faut un foyer, un lieu qui soit beau et chaleureux pour le repos. »
Soixante ans d’histoire et de transmission
Depuis sa création, La Châtaigneraie a vu se succéder sept directeurs :
- Dominique Blot (1965–1984)
- Christian Roussel (1984–2004)
- Bruno Aubriet (2004–2010)
- Yves Maby (2010–2012)
- Bruno Aubriet (2012–2019)
- Pascal Vallet (2019–2024)
- Xavier Blondel (depuis 2024)
Tous ont contribué à faire de La Châtaigneraie un campus d’excellence, à la fois fidèle à ses valeurs chrétiennes et résolument tourné vers l’avenir.
Règlements intérieurs du Campus
Règlement intérieur de la CFIP – CFC

Projet d'établissement
Notre projet pastoral et pédagogique
La Châtaigneraie a pour vocation de proposer une formation adaptée et qualifiante. Elle souhaite faire prendre conscience à chacun de ses capacités de réussite. Elle aide ainsi à construire une personnalité libre et responsable. Nos objectifs sont clairs : encourager chacun au goût de l’effort et de la persévérance. Développer l’esprit critique. Poursuivre l’apprentissage de la vie en société. Découvrir une communauté chrétienne ouverte à toutes les spiritualités. Permettre à chaque membre de la communauté éducative d’optimiser ses compétences d’éducateur.

L'internat
Découvrez l'internat de la Châtaigneraie
Le campus évolue, l’internat aussi ! Après la rénovation de ses locaux et la construction de l’amphithéâtre, le nouvel internat Jean HELLOT de la Châtaigneraie a été inauguré le 16 novembre 2022. Mais ça ne s’arrête pas là, Le Campus va encore évoluer…

Résultats des examens 2025
Résultats des sessions 2025
Retrouvez tous les résultats des examens de la session 2025 sur la plateforme PUBLINET (ci-dessous)






